« L’expérience ne se limite pas au port d’un Oculus Rift DK2, elle utilise aussi des effets spéciaux (tremblements de la cabine, effets de déplacement d’air) pour accroître l’immersion. Le résultat est convaincant, d’autant qu’ATR a privilégié la créativité au placement produit. « Il nous fallait construire quelque chose d’intéressant, confirme Elio Baino. Nous sommes donc partis sur l’idée du moyen de transport absolu, dans un futur très loin : la téléportation. Elle permettrait de se rendre partout dans le monde pour visiter des lieux d’exceptions. » C’est sur ces destinations exotiques que se concentre l’expérience. Avec comme morale de l’histoire le fait que la téléportation n’étant pas possible aujourd’hui, le meilleur moyen de les atteindre… est un avion ATR »